Pour ne plus tourner en rond...j'affiche complet  [clic here].

Quand mon collègue nous offre une tartine de nutella avec un sourire large comme ça.
C'est un petit morceau de réconfort adéquate.
Ca me fait du bien de me faire plaisir.

J'ai reçu hier,
un message venant d'une personne que soit disant je ne connais pas.
Pourtant en lisant ses mots j'ai l'impression d'avoir moi-même écrit ce texte.
Je me devais de les mettre sur mon blog car ce que cette personne m'a envoyé,
m'a touché au plus profond du coeur.
A toi qui m'a laissé ses quelques mots: merci!

"Pour vous qui ne le savez pas encore, il faut que je le cri:
Mlle Lain n'est pas une femme, non c'est une fée.
Elle à la grâce d'un ange et la beauté d'une princesse de contes de fées.
Mlle Lain n'est pas hautaine, elle est ce qu'elle est.
Elle est encore plus belle lorsque ses yeux sont rougis et remplis de larmes.
Mlle Lain est plaisante tout simplement.
Mlle Lain fait croire aux gens qu'elle s'aime, et qu'elle est imbue d'elle-même.
Elle annonce un égocentrisme démesuré, mais si vous la saviez comme je la sais,
vous verriez qu'en réalité c'est une personne qui travaille sans relâche sur la confiance en soi.
Elle doute, et elle a peur de tout.
Mlle Lain ne se fâche pas souvent et vomi lorsqu'elle est contrariée.
Mlle Lain n'a pas sommeil. Elle tourne et compte les heures sans fermer l’œil.
Mlle Lain à la plume agile lorsqu'elle est malheureuse.
Mlle Lain fait des envieux et de belles photos.
Elle n'est pas susceptible sauf lorsqu'elle est amoureuse.
Elle est l'amie imaginaire que l'on s'est tous inventé.
Mlle Lain croît au destin et à toutes ses choses qui porte-bonheur.
Elle est poétique, romantique, baignant dans les fleurs bleues.
Mlle Lain est mélancolique encore plus en automne,
elle touche la tristesse du bout de l'aile, car mlle Lain est un chérubin.
Elle est faible, fragile, coquette, sa beauté n'a d'égale que dans les rêves inavoués.
Une petite boule d'amour enfantine, une sucrerie.
Elle est douce et tendre, serviable à souhaits.
Elle m'intrigue, elle m'obsède, elle me fascine.
Elle me paraît intouchable, irrattrapable, impalpable.
Mlle Lain est fidèle avec ses amis et son amoureux.
Elle court sur le droit chemin, et rien ne peut la détourner.
Mlle Lain est une tentation au plaisir.
Elle éveille l'étincelle et ses mots font frissonner.
Celui qui ne croit pas aux fées ne pourra jamais comprendre ce que représente Lain.
Mlle Lain est perturbante.
Mlle Lain ne ment jamais, elle est pleine de tact et de délicatesse.
Mlle Lain est spontanée, impulsive, passionnée.
Mlle Lain est effrayée, elle souffre de chaque flèche que Cupidon lui décroche.
Elle n'est pas envieuse, mais elle convoite le bonheur avec une avidité sans limite.
Mlle Lain est trop sensible et pleurera certainement à la lecture de mon récit.

A vous ma chère étrange Mademoiselle Lain en souhaitant un sourire en échange de mon poème.

Pandémonium"

Ca coule dans mon cœur,
cet espèce de rancoeur trop épaisse mélangé à l’amertume.

Je fatigue de ses jours sans soleil qui me mettent le moral au point mort.
Monotone est la couleur de mon humeur de l'instant.

J’oscille entre cette envie d’escalader la savonneuse pente
et le désespoir de me laisser glisser jusqu’à la chute.
Ca ne tient plus de l’ascension,
c’est juste une fuite dans mon esprit cyclothymique.

Ce qui m’use c’est d’avoir perdu mes illusions de petite fille.
de me retrouver dans cette solitude sans solution imminente ,
et de croire encore en une culpabilité indirecte.
J’accorde mon arc à ma pensée,
j’enfourche mon cheval de Troie,
pour engager cette bataille acharnée contre mon euphorie dépressive.
C'est de ma faiblesse que découlera ma force.

[x]Def : Cyclothymie: Constitution psychique caractérisée par l'alternance de phases d'excitation euphorique et de dépression mélancolique

Confuse,

Je déteste qu'il me sache dans cet état d'angoisse.
J'aurais aimé porter mes souliers magiques
frapper trois fois mes talons
et m'ôter tout les sentiments dont il ne veut pas.

Comme la dernière cigarette qu'on écrase,
il pense que tout n'est que question de volonté.
A cela et pour tout ce que nous avons vécu,
j'acquiesse de faire l'effort tant attendu.

Un minimum de soutien ne serait pas de trop.

[x]Pix by Lain* _ my magic ballet pump
[x]Clip-Clik: Mariah Carey _ We belong together
(plaisir des yeux)

J'entends déjà mes désirs s'évanouir au coeur
de la mélopée de tes soupirs.
Triste réalité de mon pénible entre-sort,
là où rêgnent en maitres les démons de mon être.
Mon devenir, je ne suis qu'un spectre de moi-même,
me voilà devenue morte-vivante m'enfonçant dans une incroyable décadence.

J'accorde le moins d'importance à tout,
comment ai-je fais pour arriver jusqu'au travail..?
Trop peu dormi, sans toi c'était déjà difficile,
mais avec la noiceur du jour passé, c'est encore pire.
Blasée... cela me correspond tellement peu...
Je ne crois plus rien ce jour, la vie est moche et voilà tout.
Blême, j'ai le teint fantomatique.
Aujourd'hui est un jour où je n'ai pas forcément envie d'exister.

[x]Def: * Entre-sort:Baraque foraine dans laquelle on expose des monstres.
* Mélopée: Chant monotone, de caractère souvent mélancolique.
* Blême:Qui est extrêmement pâle, d'une pâleur maladive.

Aujourd'hui j'ai besoin de toi plus encore que d'habitude.
Quand la nouvelle tombe et que j'apprends de but en blanc,
qu'un de mes copains de lycée,
avec qui j'ai fait des tas de soirées,
avec qui j'ai passé des après-midi entières,
vient de mettre fin à ses jours.

Le choc.
Je sens que je tombe un peu.
Mes jambes se plient sous le poids de la nouvelle.
La tête me tourne.

Il s'est jeté sous un train.
Novembre est vraiment un mois de merde.

Tu me manques - Tu me manques - Tu me manques - Tu me manques -
Tu me manques - Tu me manques - Tu me manques - Tu me manques
Tu me manques - Tu me manques - Tu me manques - Tu me manques
Tu me manques - Tu me manques - Tu me manques - Tu me manques
Tu me manques - Tu me manques - Tu me manques - Tu me manques
Tu me manques - Tu me manques - Tu me manques - Tu me manques -
Tu me manques !

Ad vitam eternam je hais le dimanche.
Cette journée sans couleur,
remplie de grisaille sentimentale.
La bouche encore pâteuse,
j'emmerge.
Pas encore l'oeil fermé,
je lutte pour que le sommeil ne m'impose sa loi.
L'angoisse, je me sens envahie,
je voudrais hurler pour sortir toute la souffrance qui m'habite.

Le vide - Le manque - Lui.

La langue toujours gonflée de sucre,
absorbé à la soirée dernière.
Trop de bonbons tuent le bonbon.
Et je ne cesse de trembler,
comme si le froid s'était installé à l'intérieur de mon corps.
Impossible de déloger l'amertume
elle a prit possession des lieux,
s'est approprié ce qui restait de beau en moi.
Envolés mes espoirs,
je divague,
le manque de sommeil me fait tourner la tête.
Délirection de tout bon sens.
Je m'accable de moches choses,
sans être à même capable de dire
d'où elles viennent.





Puta*n qu'est-ce-que je ne donnerais pas
pour me blottir encore au creux de toi.
Histoire d'être un peu bien,
mieux dans cette vilaine peau que je me traine depuis 240 heures.

Bel chik.
Bilan d'une nuit mouvementée,
entourée d'hybrides d'adultes complètement déchaînés.
Malheur, si vous y étiez, vous auriez prit peur.
Entre les exhibitionnistes et les autochtones rhino-véloces,
Je me fraie un chemin pour tenter de retrouver mes compères.

Les soirées parano c'est
un emmagasinage de câlins assez spectaculaire.
C'est bon ce trop plein d'affection,
mais ça créer un vide encore plus
intense dans mon petit être.

Il était là encore, le Don Juan.
Beau parleur, petit malheureux.
Avec son regard de teckel en manque d'affection,
et son sourire à décrocher la lune.
Il joue de sa plastique, passant sa main dans mes cheveux,
de temps à autre tentant
une approche furtive de sa bouche au coin de mes lèvres.
Tout en murmurant à mon oreille
"tu craques?"

Pfff.... RI-DI-CU-LE
regarde moi bien,
suis-je de celle qui succombe au premier regard de l'inconnu,
sous prétexte que je répond à ton sourire,
il n'y a là aucun signe de faiblesse de ma part.
Je me moque de tes pitreries acrobatiques de lover-looser,
il n'y a pas de place dans mon coeur pour le désir
d'un visage si parfait qui cache tant d'hypocrisie.
Va, retournes faire ton numéro à toutes ses cruches,
gigognes sans cervelle qui donneraient la part belle
pour toutes les caresses que tu m'adresses.
Stoïcke.
Tes mains sur moi... pouah, j'en vomirais.
Je me sens bouffée, rongée par le remord
la culpabilité, IL est le seul qui ait le droit
de toucher ma "peau douce",
comme Petit Prince le dit si bien.

Comme sali par cette odieuse convoitise.

[x]Pix prise au stand ASA parano avec Léo ^^
http://www.phil6.be/album/photos/Parano_11-11/640/IMG_9088.JPG